Abdullah Öcalan, le leader emprisonné du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), a appelé ses partisans à déposer les armes, mettant potentiellement fin à une insurrection de plusieurs décennies contre la Turquie. Le conflit, qui a débuté en 1984, a entraîné plus de 40 000 décès. Alors que certains voient cela comme une opportunité historique pour la paix, d'autres restent sceptiques quant à la volonté du gouvernement turc de négocier. Les analystes suggèrent que ce mouvement pourrait être lié à des manœuvres politiques du président Erdogan, qui pourrait l'utiliser pour consolider son pouvoir. L'issue de cet appel reste incertaine, mais il pourrait avoir des implications significatives pour la Turquie et la région dans son ensemble.
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Le appel à la paix du chef des militants kurdes suscite l'espoir et le scepticisme en Turquie
Kurdish militant leader Abdullah Ocalan's call from prison for his Kurdistan Workers Party (PKK) to lay down arms sparked both hope and scepticism in Turkey on Thursday, while analysts linked it to a possible bid to overcome presidential term limits.
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Le leader séparatiste kurde appelle ses partisans à se désarmer, mettant potentiellement fin à une insurrection de cinq décennies avec la Turquie.
Kurdish militant leader Abdallah Ocalan has asked his followers in the Kurdistan Workers’ Party (PKK) to lay down arms and dissolve the group, potentially ending a decades-long conflict with Turkey that is estimated to have killed at least 40,
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Explorateur - Un appel à la paix en Turquie : qu'est-ce que cela apporte aux acteurs clés ?
Ending the insurgency would be a major achievement for Turkey's president after past efforts failed to resolve a conflict in which more than 40,000 people have died since 1984. Erdogan has called it "one of the last obstacles blocking the goal of a great and powerful Turkey".
